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My Tailor IrishDebout là-dedans ! Ce site dormirait-il, par hasard ? Nous voilà de retour, décontractés du clavier. Et on écrira des pages quand on aura envie d'écrire. Ca tombe bien, l'envie est là, qui se fait pressante depuis plusieurs semaines. Depuis longtemps je souhaitais faire une petite place aux single malt Irlandais. La disparition des duty free tels qu'on les connaissait (Gross Katastroff !) a bien failli mettre ce projet en péril... Mais non, Mac Roshtoy O'Branch, le Dieu des buveurs de whisky en a décidé autrement ; Ces pages devaient voir le jour. Ainsi donc fut découverte la bouteille de Connemara qui manquait à l'appel. Ben oui, on est un peu snobs, Arnaud et moi. On préfère le gré des découvertes aléatoires aux rayons bien fournis du dispendieux supermarché du whisky, qui pourtant n'est qu'à quelques stations de métro. Cette jolie bouteille a atterri sur la table du salon en bonne compagnie : Arnaud s'était procuré 5 minutes plus tôt, à la supérette du coin, un digne volume de Tyrconnell. Voila un whiskey (prononcez "ouiski", tout simplement) qui n'est distillé que deux fois, chose rare pour un Irlandais. Je garde le meilleur pour la fin. Vous allez me dire : "Bah, il n'est pas original ce whiskey, on le trouve partout". Justement, c'est pas merveilleux d'avoir un nectar pareil à portée de main ? Que dis-je, à portée de bourse ! puisqu'il a le bon goût d'être bon marché. C'est le Bushmills, évidemment. Le plus long en bouche de tous les whiskies qu'il m'ait été donné de goûter. S'il fallait en sauver un seul, je choisirais celui-là, pour la gloire du malt. Insolite, non ? Laurent Bien plus tard : La longueur du Bushmills me laissait pantois depuis bien longtemps... Détrôné ! Pulvérisé ! Écrabouillé par le Ardbeg. Vous l'avez remarqué celui-là ? Il débarque en force avec sa tourbe parfaitement mesurée. |
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